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11 janvier 2013

le robot marcheur

Le robot marcheur:

 

IMGP0003

 

Le robot utilise deux servomoteur pour avancer : le premier pour le mouvement des deux jambes et le deuxième pour le mouvement des deux pieds.Le servomoteur des jambes actionne le palonnier A et le servomoteur des pieds le palonnier L.Les moteurs positionnent leur palonnier suivant l'angle que l'on précise dans le programme.Le palonnier A entraine l'avancée d'une jambe et le recule de l'autre et le palonnier L entraine le mouvement de levée d'un pied et la baisse de l'autre.                                   Il fonctionne avec des piles ou grâce a un cable USB.

Comment faire marcher un robot marcheur ? 

Il faut utiliser le logiciel flowcode pour pouvoir créer des programme et ainsi faire exécuter au robot ce qu'on veut qu'il fasse.Flowcode permet de programmer les actions effectué sous forme graphique appeler algorythme.                               Exemple de programme pour faire avancer le robot :

marcheur USB base Macro - avance

     

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16 novembre 2012

Zéro alcool pendant la grossesse ! Les chiffres :

Zéro alcool pendant la grossesse !

 

Les chiffres :

-700 à 2000 enfants sont victimes du syndrome d’alcoolisation fœtale (SAF) chaque année.

-diminution du quotient intellectuel de 5 à 7 points chez les jeunes enfants dont les mères avaient consommé au moins 2 à 3 verres d’alcool par jour pendant leur grossesse.

-Entre 10 et 15 % des femmes signalaient consommer de l’alcool pendant la grossesse et plus de 62 % des femmes signalaient avoir consommé de l’alcool au cours des trois mois précédant la grossesse.

-82% des français sait qu’alcool et grossesse ne font pas bon ménage mais beaucoup ne savent pas à partir de quelle quantité.

-Chaque année environ 1 % des bébés en France naissent avec des malformations et des troubles liées à l'alcoolisation maternelle.

                                                                  


                                        

Les risques pour l'enfant :

Depuis 2007, on peut voir un pictogramme représentant une femme enceinte, un verre à la main, barrée d’un trait rouge. L'alcool pendant la grossesse se caractérise par des anomalies faciales, des retards de croissance, une malformation de la boîte crânienne et de l’encéphale ainsi que des troubles nerveux, des dommages du système nerveux central qui peuvent se traduire par un retard du développement, des déficits intellectuels et des troubles de l’apprentissage, une hyperactivité, des troubles de l’attention et/ou de la mémoire, une incapacité à contrôler sa colère, des difficultés à résoudre des problèmes. L’alcoolisation fœtale est la première cause non génétique de l'handicap mental chez l’enfant. On sait aussi que l’alcool ingéré par la mère passe dans le sang du fœtus qui n’a pas un foie assez développé pour l'éliminer. Les médecins le savent-ils ? Pas vraiment… Une étude montrerait qu’une faible consommation d’alcool ne serait pas néfaste pendant la grossesse (à raison d’une ou 2 unités d’alcool par semaine) mais cette étude est assez controversée car repose uniquement sur la parole des mères. La précaution veut donc qu’on ne boive pas d’alcool pendant la grossesse.

 

L'évolution du fœtus :

schema_07

 

Dès que la mère consomme de l’alcool, celui-ci se retrouve rapidement dans la circulation sanguine et arrive au placenta. Ce filtre, habituellement efficace pour contrer la plupart des germes, laisse passer l'alcool. Le fœtus est encore plus sensible car son petit foie n'est pas encore efficace pour l’éliminer comme le ferait celui d’un adulte. Il est donc exposé plus longtemps aux effets toxiques de l’alcool. C’est ce que l’on appelle l’exposition prénatale à l’alcool. L’alcool va agir comme une toxine, et selon le stade de la grossesse, il va altérer les différentes étapes de développement. C’est surtout le système nerveux du bébé qui est le plus sensible, l’alcool attaquedirectement les neurones. Les organes se développent moins bien, les risques d’accouchement prématuré augmentent. On parle de syndrome d’alcoolisation fœtale, dans les cas d’alcoolisation massive. A la naissance on observe des malformations typiques : la boîte crânienne est plus petite, le nez est court et aplati, la lèvre supérieure est fine, il y n’ y pas de couloir au-dessus de la lèvre supérieure. Le réflexe de succion diminue chez le nouveau-né

. Plus tard, on peut

observer des troubles de l’apprentissage et de l’attention, une hyperactivité et de l’agressivité

                                                                                       

images

L'allaitement

L’alcool se libère librement dans le lait et sera ingéré par les nourrissons. La consommation occasionnelle d’alcool de faible niveau n’est pas susceptible de poser un problème au nourrisson, mais une grande consommation d’alcool ou les excès occasionnels d’alcool doivent être évités. Idéalement, l’allaitement doit être interrompu temporairement après la consommation d’alcool; au moins deux heures par boisson pour éviter une exposition inutile au nourrisson. Les effets indésirables déclarés chez les nourrissons comprennent la sédation et la dégradation des capacités motrices.

Comment prévenir les prises d’alcool au cours de la grossesse ?

L’utilisation de campagnes d’informations sur les méfaits de l’alcool pendant la grossesse sont malheureusement encore peu nombreuses en France. Cette prévention primaire est très peu développé, notamment auprès des jeunes, alors que l’option-zéro alcool est actuellement recommandée au États-Unis. Peu de gens, savent en effet que l’alcool au cours de la grossesse est la première cause de retard mental acquis de l’enfant dans notre pays. La prévention secondaire repose sur la recherche d’une consommation d’alcool chez la mère. Cette recherche doit être systématique au cours de l’interrogatoire et ne doit pas culpabiliser la patiente. Le praticien peut utiliser des questions standardisées sur l’usage de toxiques. Il doit le faire de préférence à la fin de la consultation quand le sentiment de confiance est au maximum. « Combien de cigarettes fumez-vous par jour ? ». « Combien de gramme d’alcool buvez-vous par jour ? ». Cette façon, permet de sensibiliser sur sa consommation plus simplement en évitant de poser des questions gênantes et généralement sans effet comme « Buvez-vous de l’alcool ? ». L’examen clinique de dépistage est le plus souvent pauvre sauf devant des signes d’alcoolo-dépendance sévère associant une hépatopathie alcoolique (faciès, sueur, agitation, tremblement, hépatomégalie).

                                                                           Grossesse-alcool

 

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